^FDieu tout puissant, quand mon cœur consi^Bbdère Tout l'uni^Fvers cré^C7é par ton pou^Fvoir Le ciel d'azur, les éclairs, le ton^Bbnerre Le clair ma^Ftin ou ^C7les ombres du ^Fsoir

^C7De tout mon ^Fêtre a^Bblors s'élève un ^Fchant Dieu tout pui^Gmssant ^C7que tu es ^Fgrand ^C7De tout mon ^Fêtre a^Bblors s'élève un ^Fchant ^C7Dieu tout pui^Bbssant ^C7que tu es ^Fgrand

^FQuand par les bois, ou la forêt pro^Bbfonde, J'erre et j'en^Ftends tous ^C7les oiseaux chan^Fter; Quand sur les monts, la source avec son ^Bbonde, Livre au zé^Fphyr son ^C7chant doux et lé^Fger…

^C7Mon cœur heu^Freux, s'é^Bbcrie à chaque ins^Ftant: « O Dieu d'a^Gmmour, ^C7que tu es ^Fgrand ! » ^C7Mon cœur heu^Freux, s'é^Bbcrie à chaque ins^Ftant: « ^C7O Dieu d'a^Bbmour, ^C7que tu es ^Fgrand ! »

^FMais quand je songe au sublime mys^Bbtère Qu'un Dieu si ^Fgrand a ^C7pu penser à ^Fmoi Que son cher fils est devenu mon ^Bbfrère Et que je ^Fsuis l'hé^C7ritier du grand ^Froi

^C7Alors mon ^Fcœur re^Bbdit, la nuit, le ^Fjour: « Que tu es ^Gmbon, ^C7ô Dieu d'a^Fmour ! » ^C7Alors mon ^Fcœur re^Bbdit, la nuit, le ^Fjour: « ^C7Que tu es ^Bbbon, ^C7ô Dieu d'a^Fmour ! »

^FQuand mon sauveur éclatant de lu^Bbmière Se lève^Fra de ^C7son trône éter^Fnel Et que laissant les douleurs de la ^Bbterre Je pourrai ^Fvoir les ^C7splendeurs de son ^Fciel

^C7Je redi^Bbrai à ^Bbson divin sé^Fjour Rien n'est plus ^Gmgrand ^C7que ton a^Fmour ^C7Je redi^Bbrai à ^Bbson divin sé^Fjour ^C7Rien n'est plus ^Bbgrand ^C7que ton a^Fmour ^C7Rien n'est plus ^Bbgrand ^C7que ton a^Fmour