Louise Attaque - La frousse

Tu^Am veux marcher, y aura toujours bea^Dmucoup plus loin Tu^Dm veux parler, tu veux crier, on ne comp^Frendra rien Tu^F veux chercher, tu ne trouv^Geras point^{Am Am} Tu^Am voudrais t'envoler, éviter ^Dmles chemins Do^Dmnner aux autres, donner aux autres, il ^Fn'y aura pas demain

J'^Amai la frousse du^G moindre peti^Ct retard De^Am Am dire bon^Gjour, au ^Crevoir La^F frousse de t'embrasser ce ^Csoir De n'plus saut^Bmer dans les flaques, l'esp^Coir De^F perdre le fil, dé^Ctaché De vivre à ^Bmcôté que tout soit^C gâché La ^Dmfrousse de faire le moindre^C mètre Sans ai^Bmmer, empêcher, dispa^Amraitre La ^Ffrousse du moindre petit^C mot Celui qui a^Bmrrive toujours trop tard ou ^Ctrop tôt Je crois qu'on ^Fressent tous les se^Ccousses En fait, je^Am crois qu'on a ^Gtoujours la^C frousse

Tu ^Amveux voguer, y aura toujours bea^Dmu coup plus loin Tu ^Amveux crier ou chuchoter, on^F ne comprendra rien Tu ^Fveux trouver, tu ne cher^Gcheras point ^Am J'a^Ami la frousse de^G voir ce qu'il^C faut voir Com^Ambien de jours quand a^Grrive^C le soir La ^Ffrousse de m'réveiller dans^C le noir De n'plus rê^Bmver d'être champion du monde,^C victoire La ^Ffrousse du moindre petit^C geste D'être empê^Bmché, remplacé, dispar^Caitre La ^Dmfrousse de la moindre renc^Contre D'être ce^Bmlui qui est pour qui est^Am contre La^F frousse de la moindre goutte^C d'eau Qui arrive de^Bm la mer, du ciel, oui, d'en^C haut Je^F crois qu'on ressent tous les se^C cousses En fait, je^Am crois qu'on a^G toujours la^C frousse

Je^C regarde la te^Grre, je r^Amegarde en bas^Am Je^F vois toutes nos fronti^Gères, je ne le^Ams comprends pas^{Am C}Je regarde en l'^Gair, je r^Amegarde les toits^{Am F}Et je m'imag^Gine juste tou^Amt près de toi^Am J'a^Ami la frousse de me^G fondre dans l^Ce brouillard Du moindre^Am détour, des^G autres, du^C hasard La ^Ffrousse de perdre la mém^Coire De n'plus co^Bmurir sous la pluie dans le ^Csquare

La ^Ffrousse du moindre pe^Ctit mot Celui qui a^Bmrrive toujours trop tard ou t^Crop tôt Je ^Fcrois qu'on ressent tous les se^Ccousses En fait, je^Am crois qu'on a ^Gtoujours la ^Cfrousse