Georges Brassens - Concurrence déloyale

Il y ^Ama péril en la demeure, dep^Dmuis que les femmes ^A7de bonnes ^Dmmœurs, Ces trouble-^Amfê ^Cê ^Dte, ^E7 Ja^Amlouses de^E7 Manon Les^Amcaut, Vienn^Dent débi^Dmter leurs gig^E7ots ^DmA la sauv^Fe ^E7e ^Amtte.

Elles^Am ôtent le bonhomme de dessus la^Dm brave hori^A7zontal' dé^Dmçue, Elles prennent sa p^Amla ^Ca ^Dce.^E7 De ^Amla bouche au ^E7pauvre tap^Amin Elles r^Detirent le ^Dmmorceau de ^E7pain, ^DmC'est dégueu^Fla ^E7a s^Amse.

En^Am vérité, je vous le dis, il ^Dmy en a plus ^A7qu'en Norma^Dmndie Il y a de^Am po ^Co mm^Des. ^E7 Sai^Amnte-Madeleine,^E7 protégez^Am-nous, Le ^Dmétier de^Dm femme ne^E7 nou- ^Dm-rrit plus son^F ho ^E7o ^Amme.

Y a ^Amces gamines de malheur, ces ^Dmgosses qui, tout ^A7en suçant ^Dmleur Pouce de fi^Amlle ^Ce t^Dte, ^E7 Se ^Amlivrent au ^E7détourne^Amment De ^Dmajeur et, ^Dmvénale^E7ment, ^DmTroussent leur la^Fye ^E7 e t^Amte.

^AmY'a ces rombières de qualité, ces ^Dmpunaises de^A7 salon de^Dm thé Qui se pro^Amste ^Ce r^Dnent,^E7 Qui, ^Ampour redor^E7er leur bla^Amson, Vien^Dnent accroc^Dmher leur vi^E7son ^DmÀ la lan^Fter ^E7 e ^Amrne.

Y a ^Amces petites bourgeoises faux -culs qui, d^Dm'accord a^A7vec leur co^Dmcu, Clerc de n^Amotai ^Cai ^Dre, ^E7 Au ^Amprix de gros ^E7vendent leur ^Amcorps, Leurs ^Dcharmes qui ^Dmfleurent enc^E7ore ^DmLa pomme de ^Fte ^E7e rr^Ame.

Lors, ^Amdélaissant la fille de joie, le ^Dmclient peut ^A7faire son ^Dmchoix Tout à sa^Am gui ^Ci ^Dse, ^E7 Et ^Amse payer ^E7beaucoup moins ^Amcher Des ^Dcollégiennes,^Dm des mén^E7agères, ^DmEt des mar^Fqui ^E7 i ^Amses.

^AmAjoutez à ça qu'aujourd'hui la ^Dmmanie de l^A7'acte gra^Dmtuit Se déve^Amlo ^Co p^Dpe, ^E7 Que ^Amdes créa^E7tures se font ^Amcul- -bu^Dter à l’œil ^Dmet sans cal^E7cul. ^DmAh! les sa^Flo ^E7 o p^Ames!

Elles^Am ôtent le bonhomme de dessus la ^Dmbrave hori^A7zontal' dé^Dmçue, Elles prennent sa p^Amla ^Ca ^Dce.^E7 De ^Amla bouche au ^E7pauvre tap^Amin Elles r^Detirent le ^Dmmorceau de ^E7pain, ^DmC'est dégueu^Fla ^E7a s^Amse.