Georges Brassens - Comme hier

^GHé ! donne moi ta ^G7bouche, hé ! ma j^Colie fraise ! L'aube a mis des ^G7fraises plein notre h^Corizon Garde tes din^Bbdons, ^Amoi mes porcs, T^D7hérèse, Ne ^Cr'pousse pas du ^Gpied mes p'tits coc^Chons ^FVa, comme hi^Cer ! Comme hi^G7er ! Comme hi^Cer ! Si ^Ftu ne m'aimes ^Cpoint, c'est moi ^D7qui t'aim'^G7rons ^FL'un tient le couteau, l'autre la cuil^A7ler, La vie, c'est tou^Dmjours les mê^G7mes chans^Cons

^GPour sauter l'gros so^G7urceau de p^Cierre en pierre, Comme tous les j^G7ours mes bras t'^Cenlèv'ront Nos dindes, n^Bbos tru^Aies nous su^D7ivront lég^Cères, Ne r'pousse pas du ^Gpied mes p'tits coc^Chons ^FVa, comme hi^Cer ! Comme hi^G7er ! Comme hi^Cer ! Si ^Ftu ne m'aimes ^Cpoint, c'est moi ^D7qui t'aim'^G7rons ^FLa vie, c'est toujours amour et mis^A7ère, La vie, c'est tou^Dmjours les mê^G7mes chans^Cons

^GJ'ai tant de resp^G7ect pour ton cœ^Cur, Thérèse, Et pour tes dind^G7ons, quand no^Cus nous aimons Quand nous no^Bbus fâc^Ahons, hé ! Ma jo^D7lie frai^Cse, Ne r'pousse pas du ^Gpied mes p'tits coc^Chons ^FVa, comme hi^Cer ! Comme hi^G7er ! Comme hi^Cer ! Si ^Ftu ne m'aimes ^Cpoint, c'est moi ^D7qui t'aim'^G7rons ^FL'un tient le couteau, l'autre la cuil^A7ler, La vie, c'est tou^Dmjours la mê^G7me chans^Con