Francis Cabrel - L'encre de tes yeux

^CPuisqu'on ne ^Gvivra jamais ^Amtous les deux Puisq^Fu'on est fous, puis^Cqu'on est seuls, puis^Gqu'ils sont si nombreux ^CMême la ^Gmorale parle ^Ampour eux ^FJ'aimerais quand même te ^Cdire, tout ce que j'ai pu écri^Gre Je l'ai puisé à l'^Fencre de tes y^Ceux

^CJe n'avais pas ^Gvu que tu por^Amtais des chaînes A ^Ftrop vouloir te ^Cregarder, j'en o^Gubliais les miennes On ^Crêvait de V^Genise et de ^Amliberté‚ ^FJ'aimerais quand même te ^Cdire, tout ce que j'ai pu écri^Gre C'est ton sourire qui me ^Fl'a dicté^C

^CTu viendras lon^Ggtemps marcher dan^Ams mes rêves ^FTu viendras tou^Cjours du côté, ^Goù le soleil se lève ^CEt si ma^Glgré ça j'arr^Amive à t'oublier ^FJ'aimerais quand même te ^Cdire, tout ce que j'ai pu écri^Gre Aura longtemps le ^Fparfum des reg^Crets

^CPuisqu'on ne vi^Gvra jamais tous le^Ams deux Puisq^Fu'on est fous, puis^Cqu'on est seuls, puis^Gqu'ils sont si nombreux ^CMême la ^Gmorale plaide^Am pour eux ^FJ'aimerais quand même te ^Cdire, tout ce que j'ai pu écri^Gre Je l'ai puisé à l'^Fencre de tes y^Ceux