Francis Cabrel - La robe et l'echelle
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LA ROBE ET L'ÉCHELLE - Francis Cabrel
Capo IV
TEm'avais mis ta robe légère, Moi l'échelle contre un ceriBmsier
T'a voulu monter la premièCre, Et aprèAms
DY'a tant de façons, dD7e manières, De dire les choses sans parAmler,
Et comme tu savais bien leC faire, Tu l'aEms fait
BmUn sourire, une main tendGue, Et par Bmle jeu des transpareCnces,
Ces fruits dans les plis du tiAmssu, Qui balancent
SD'agissait pas de monter bien haD7ut,
Mais les pieds sur les premiers barreaAmux,
J'ai senti glisser le maCnteau, De l 'enfEmance
EmOn a rien gravé dans le marbre, Mais j'avoue souvent y penBmser,
Chaque fois que j'entends qu'un Carbre, est toAmmbé
DUn arbre c'est vite feD7ndu, Le bois quelqu'un a du le venAmdre,
S'il savait le mal que j'aiC eu, a Em descendre
EmD'ailleurs en suis-je desceGndu, DeBm tout ces jeux de transparenCce,
Ces fruits dans les plis des Am tissus, Qui balancent
JD'ai trouvé d'autres choses à fD7aire,Et d'autres sourires aAm croiser
Mais une aussi belle lCumière, JaEmmais
BmA la vitesse ou le tempsA passe,
Le miCracle est que rien n'Gefface l'essentD7iel,
Tout Am s'envole en ombre légère
TCout sauf ce bout de fièvre et dB7e miEmel
BmTout s'est en volé dans l'eAspace,
Le sourire,C la robe, lG 'arbre, et l'écD7helle,
A lAma vitesse ou le temps passe,
RCien, rien n'efface l'esseB7ntielEm
TEmou tBmou CtoAmu tou...
JD'ai trouvé d'autres choses à D7 faire,
Et d'autres sourires à croisAmer,
Mais une si belle lumCière,
EmJamais
EmTou BmtouC tAmou tou
DEt voila que du sol ou nous D7 sommes,
Nous passons nos vies de mortAmels,
chercher ces portes quiC donnent,
VeEmrs le ciel